La conduite du changement

Le changement est souvent perçu comme menaçant ou déstabilisant.

Il rencontre naturellement la résistance des hommes et des structures. Pour gérer cette situation intermédiaire, le coaching permet au coaché de se positionner dans la situation présente et de se projeter dans l’avenir, avec confiance en ses ressources.

Ce n’est pas le changement qui nous fait peur en soi, ni l’amour des anciennes méthodes qui nous freine, c’est l’écart entre les deux états que nous craignons. C’est le sentiment de faire du trapèze sans filet et sans point d’accroche.

Le coach est un facilitateur de transition. Il est garant d’un processus et non d’un résultat.

La notion de «réussite» dépendra totalement de la volonté du coaché d’opérer, en toute autonomie, un changement d’état d’esprit et de perception ou d’adopter un comportement approprié à la situation.

Pour revenir à la gestion du changement, le coach fera prendre conscience à l’individu ou à l’équipe qu’il accompagne que ce n’est pas tant le changement qu’ils craignent, mais les régressions qu’ils perçoivent et qu’ils se refusent d’accepter.

Les réactions de doute, d’anxiété ou de résistance sont dues notamment à trois ruptures avec l’équilibre établi :

– En terme de vision : «À travers ce changement, on me demande de voir le monde différemment ».
– En terme de savoir-faire : «On me demande de renoncer à mes habitudes et d’apprendre à faire autrement ».
– En terme de relation : «Je ne serai plus reconnu pour ce que je savais faire, mais pour quelque chose qui, par définition, je ne sais pas encore faire ! Pourrais-je encore être reconnu ?»

Le coach aura rempli son rôle quand il aura aidé son coaché à faire le deuil d’une situation perçue comme idéale, pour se positionner dans la situation présente et se projeter dans l’avenir, avec confiance en ses ressources.

Méta-Morphose vous accompagne dans votre conduite de changement
-coaching et accompagnement-

« Devenez le changement que vous voulez voir dans le monde » (Gandhi)

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